Le Futur d'Harry Potter
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 Kyoji Kazawa [UC]

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Kyoji Kazawa [UC] Empty
MessageSujet: Kyoji Kazawa [UC]   Kyoji Kazawa [UC] EmptyMer 21 Jan - 19:43

Identité;
Kyoji Kazawa [UC] Ryo24 Kyoji Kazawa [UC] Ryonishikido7


  • Prénom(a) & Nom : Kyoji ;Yuiichiro; Kazawa.
  • Date de naissance et Âge: Le 14 août 1994, 23 ans.
  • Sexe : Masculin.
  • Race et groupe : Sang Pur; sorcier.

  • Physique :
    Kyoji, le japonais typique dans toute sa splendeur. Deux billes brunes en guise d’yeux. Bridés comme tout nippon se respectant. Toutes deux sont des mystères, aussi pénétrantes qu’effrayantes. En effet, son regard est la porte de ses sentiments, on ne peut pas dire que tout y transparait mais lorsqu’il refuse d’ouvrir la bouche, n’importe qui sait où il doit regarder pour comprendre. Encore que le jeune homme essaie de se contrôler. Quand on fait fuir une gamine, ce n’est jamais agréable. Nous passons maintenant à la bouche, avec deux lèvres rosées comme parfois blanche. Normalement placé, qui laisse s’échapper la voix de Kyo’ de temps à autres. D’ailleurs assez rauque, et lorsqu’il souhaite se faire entendre, il n’a qu’à hausser le ton pour qu’on se retourne. Pour ensuite se questionner sur son nez, tout aussi bien que ses lèvres malgré quelques imperfections, dont une bosse sur le dessus mais qui ne gâche rien au charme du nippon. Et sur le dessus du crâne; ses cheveux. D’un noir de jais, lorsqu’ils sont au naturel. Court, il n’est pas du genre à s’en occuper, un coup de peigne est largement suffisant.
    Parlons dorénavant du reste du corps. De corpulence assez frêle; on ne peut pas dire que Kyoji est du genre très sportif mais il peut lui arriver de se rendre dans une salle de sport ou bien de faire un jogging, parfois. Le nippon est donc mince, mais peut être pas maigre. Pourtant morfale comme il est, mais il ne prend pas un gramme ou pratiquement pas. L’asiatique ne dépasse les un mètre soixante quinze; grand pour un japonais, petit pour un occidentale. Il est convenablement formé. Des bras puissants lorsqu’il s’y met, pas gros mais ayant de la force. Pour finir, son enveloppe corporel, appelons ça la peau; est mate pendant les beaux jours et blanche pendant les temps d’hiver.


  • Caractère : U.c


Histoire :

  • Origine / Nationalité : Japonais pur souche; peut être aurait il des ancêtres coréens.
  • Lieu d'habitation : Londres, en bordure du quartier sorcier.

    • Style d'habitation : Une demeure assez grande & spacieuse. A l'arrière on peut profiter d'un grand jardin. Elle est dotée de deux étages.

  • Histoire :

    « Kyoji… de deuxième nom Yuiichiro » Ainsi je fus appelé. Il ne comporte rien de spécial. Simple; pas de signification particulière.

    Je n’ai jamais été la fierté de qui que se soit. Enfant d’un père dont la famille avait leurs idéaux et une mère dont la famille était à l’inverse de ces idéaux. Forcément, l’union de deux jeunes fut dure à accepter et plusieurs fois, des menaces de reniement tombèrent sur les épaules de mes parents. De nombreuses fois les deux clans crurent réussir à les briser, cependant rien n’y fit. Les deux se marièrent en secret, dans un temple bouddhiste où la magie ne régnait pas en maître. Leur plus beau souvenir après ma naissance. Voila ce que j’appris de source sûre.

    Ho, évidemment je pourrais me contenter de dire que je suis une personne sans histoire, ce qui d’ailleurs est sûrement le cas. Simplement certains éléments différent d’une vie sans embûche. Quand l’innocence me possédait encore, je dois avouer que peut de souvenirs de cette période me sont restés. Je sais que je suis né dans un hôpital de compagne, le plus proche de mon village, Kobumaru, près d’Osaka, dans la préfecture du Kansai. Je naquis un dimanche soir. Le soir tombait lentement sur le pays. […] Une semaine plus tard, je rejoignis ma future demeure, grande maison bâtit de manière ancienne. Le jardin était immense, il s’étendait sur un bon hectare. Ho, j’ai oublié de préciser la richesse de mes familles. L’une d’elle ne pouvant pas montrer sa puissance et trop humble pour se sentir supérieur décida de vivre de façon modeste, tenant une échoppe dans le centre ville qui commercialisait toutes sortes d’épices et produits traditionnels, le coté de mon père. J’ai toujours pensé que le simple fait qu’ils se comportent ainsi était par simple pitié et qu’ils se sentaient bien supérieur malgré ce qu’ils peinaient à défendre, puisque mon grand père, derrière leur stand était directeur d’une entreprise international. Enfin, la famille de ma mère était en quelques sortes « honnête », elle avait les moyens et n’en s’en cachait pas, autant en profiter. La différence entre les deux était leurs popularités. L’un des deux tenaient une bonne réputation, tandis que l’autre était craint. Cependant cette situation était superflue pour le couple. Rien ne pouvait ébrécher leur bonheur. Moi, je grandissais de manière tout à fait normale. On ne s’inquiétait pas de mon avenir, j’étais de toute manière encore trop jeune et je ne me rendais compte en rien de la situation future qui m’attendait.

    « Tu as longtemps refoulé cette peur … »


    Certainement mon plus vieux souvenir, que pendant longtemps j’eus cru avoir oublié. J’aurais, d’ailleurs, préféré ne jamais me le remémorer. Si ma mémoire ne me joue pas de tour, je dirais que je ne devais pas dépasser trois pommes, et atteignait quatre ans. C’était un soir de pleine lune. Le froid avait pris l’extérieur d’assaut, nous devions nous trouver en hiver, en décembre plus précisément. Ce devait être le milieu de la nuit. Ce jour la, je me retrouvais seul avec ma génitrice dans la résidence. Mon père en déplacement pour son travail, son propre père lui avait légué la place de direction dans sa boîte.
    Un cri strident me fit sortir de ma torpeur. Je me réveillais en sursaut. Je crus tout d’abord que ce n’était que mon imagination qui me jouait un tour, ce n’était qu’un rêve, puisque le calme semblait régner. Au moment où je voulus me rendormir un second hurlement perça le silence. Cette fois ci, j’étais apeuré mais la curiosité de savoir d’où provenait le son m’avait pris ! Je me levais donc, pour me balader dans la maison, j’entendrais bien un troisième son similaire. Malheureusement pour moi, je tombai sur deux silhouettes, deux ombres plus précisément, je voyais plutôt mal avec mes yeux irrités par la fatigue, et malgré le fait que je les frotte de nombreuses fois. Je m’assis alors devant la porte coulissante entrouverte. Je voyais chaque mouvement, des jets de lumières de couleurs différentes. Je ne m’en inquiétais pas. Même si quelques cris aigus me donnaient froid dans le dos.
    Cela faisait bien un petit temps que j’observai la scène sans grand rebondissement, je trouvais ça amusant. Or, mon cœur se stoppa net à un moment bien précis. Ma mère se faisait coller au mur par un autre corps recouvert entièrement de sang. Les mains de l’inconnu resserraient son cou. Le pire fut lorsque que les yeux ensanglantés posèrent leur regard sur moi. Je basculais sous le choc vers l’arrière, craintif, j’avais peur, j’avais envie de crier mais tout été retenu. Ma mère repoussa violemment la personne qui ne survivra pas longtemps après. J’aperçus un jet de couleur vert, et par la même occasion entendit une incantation « Avada Kadavra ». Et avant que ma tutrice ne jette un œil ver la où je me trouvais, je courus aussi discrètement mais rapidement possible. Les images d’horreur me hantaient l’esprit. Ce corps rouge, le rire émit par ma mère à la fin… je trébuchais, pour retomber brutalement au sol, l’horloge sonna onze coups, j’entendais les cliquetis de l’aiguille qui parcourait chaque seconde du cadran. La peur me retournait l’estomac. J’avais peur de subir le même châtiment mais alors que j’attendais durant de longues secondes, rien ne se produisit je me rendormis dans un couloir… mais je me réveillais dans mon futon. Mon grand père me regardait étrangement, inquiet. Pourtant je ne fis pas attention, je lui racontais mon cauchemar. Totalement perdu. Il me fit un long sourire chaleureux, me disant d’oublier cette horreur, mais à peine me l’avait il dit, que je ne me souvenais plus de rien. J’avais entendu ce que je vais entendre. Elle en était incapable.

    « Toute rencontre est importante, car elle est peut-être unique.»


    Journée ensoleillée, rien de particuliers. Je devais ruminer dans mon coin ce jour la, grondé pour avoir pénétrer le bureau de mon grand père sans lui demander la permission. J’avais fuit la grande baraque, faisant des tours avec un bout de bois sur le sol bétonné. Je ne faisais attention à rien. Les gens marchaient et me bousculer sans pour autant s’excuser, mais moi qu’est ce que cela pouvait bien me faire. J’avais la ferme attention de ne jamais retourner dans ce château fermé. Je n’étais pas une princesse . . . ouais x___x. Après vérification dans une petite ruelle, je n’avais aucun doute, bah quoi … une envie pressante >< ! Et lorsque je me retournais pour repartir dans mon coin, j’aperçus un petit garçon. L’air perdu. Il était vêtu encore plus chiquement que moi-même. J’accourus dans un élan de bonté et de solidarité vers lui. Les autres enfants avaient tendance à être jaloux de ma situation. Posant ma main sur son épaule, il sursauta, sans même poser ma main sur sa poitrine je pouvais sentir ses battements cardiaques ultrarapide. « Je.. je.. je.. » « Oïe ! Kyoji ^^ et toi ? » Autant faire rapide, je lui fis un grand sourire chaleureux. Il tourna enfin les talons pour regarder mon visage et me rendre un sourire similaire. « Nat…suo ! » « Nat’ Suo ? » Je voyais qu’il grimaçait, j’avais dit une connerie x___x « Natsuo… » Reprit il dans un second souffle. Je hochais la tête en guise d’excuse et pour dire que j’avais compris. « T’es perdu ? » Il me dit oui. Ainsi je rencontrais Natsuo. Nous avons chercher ses parents toute l’après midi mais rien. Nous avions discuté, nous nous étions frappés par désaccord sur certaines choses. Je lui avais trouvé un surnom même x___x’ « P’tit con ». Nos vêtements semblaient débrailler. On ressemblait aux autres gamins du coup. Et pendant ce temps la lune remplaçait petit à petit le soleil et l’obscurité chassait la lumière. Et nous étions perdus, tout simplement. « P’tain t’habites où ? » Et la je crus exploser de rire « Ché pas. » « Hééé ! Trop bête ! » Je me moquais de lui. Et il me regardait l’air de dire qu’il me tuerait si je continuais « C’est la première fois que j’étais dehors Baka ! » Et ce P’tit con avait insisté sur la Baka ! >< Et la nous allions recommencer à nous battre quand une petite voix féminine nous stoppa « Natsuooo ! On t’a cherché partout imbécile ! » Elle me fit un sourire faussement courtois, « C’est quoi cette tenue ? » « C’est … qu..e je.. » « C’est d’ma faute m’selle ! » Elle soupira, et prit Natsuo dans ses bras. « Notre maison n’est pas loin, les Shizuwa ! Viens quand tu veux petit bonhomme ! » « Kyo’ » Fis je avec un grand sourire qui montrait toutes mes dents. Elle rit et passa sa main dans mes cheveux, elle était vraiment gentille finalement. « Je suis la sœur de lui ^^ Juri ! Enchantée Kyo’ ! » « De même » Dis je. J’étais absorbé par sa beauté. J’avais cinq ans et elle devait en avoir dix. Ensuite ma mère arriva en courant, presque en larme, me serrant fortement contre elle. La sœur me fit un signe de main en guise d’au revoir et moi je suivis ma mère qui me réprimanda tout en me couvrant de bisous.


    U.C

  • Famille : U.C


Vie de votre personnage désormais:

  • Situation Familiale: C'est assez vague et perplexe. Un père, une soeur habitant tous deux avec lui. Une mère: soit disant disparue & de la famille au japon.
  • Métier: Videur de poubelle, homme de ménage dans un restaurant dirigé par l'entreprise de son père; plus précisément un ami à son père.
  • Ses rêves et ambitions pour l’avenir : Il n'en a pas vraiment à vrai dire, il souhaite simplement vivre en paix.

Question supplémentaire :

  • Acteurs / Actrices ? Nishikido Ryo
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MessageSujet: Re: Kyoji Kazawa [UC]   Kyoji Kazawa [UC] EmptyJeu 26 Fév - 1:38

  • Histoire suite :

    [ Entre temps ]


    Vous souvenez vous de cette nuit ? J’eus cru que ce n’était qu’un cauchemar, alors que j’avais déjà fait la rencontre de Natsuo, j’oubliais progressivement ces images. Même si les crimes de ce genre se multipliaient dangereusement dans le village. Tous les jours les habitants du village parlaient de ces tragédies et chacune des victimes étaient des femmes. Avec mon ami nous passions à coté, c’était sûrement pas important pour nous. Pourtant, nous devions être en février. Lors d’un après midi plutôt normal. La maison était une fois de plus vide. Et je devais me divertir par moi-même, dans ces cas là… je prenais la demeure comme un terrain de jeu. Kamikaze ! « Banzaiiii ! » Et j’étais parti pour le parcours du combattant, me frayant des chemins dans les parties les plus isolées et inaccessibles, bravant tous les dangers… « Tu me l’avais promis !! Que plus jamais tu n’utiliserais la magie à des fins si… » « Elles méritaient ce châtiment ! Tourner autour d’un homme marié ! Elles le méritaient ! » Tiens maman et papa étaient présents ce jour la, ça devait faire un bon mois que je n’avais pas croiser mon géniteur. A pas de loup je m’avançais vers l’ouverture et j’écoutais attentivement et observait les expressions de chacun. Mon père semblait en colère et tout à la fois indigné et froid, tandis que ma mère baissait les yeux, désolée mais déterminée. « Si je tuais un homme innocent qui te serrerait la main ?! Tu serais contente ? » « Ce n’est qu’une preuve d’amour ce que j’ai engendré … tu ne comprends pas ? » La voix féminine devint plus douce, s’asseyant devant une table, elle but une gorgée de thé, le visage serein. « Je … c’est … différent ! Je ne te parle pas de ça ! Oter la vie à de pauvres inconnues ! Je croyais que tu étais différente… je l’ai sincèrement cru ! » « Je le suis … j’ai simplement perdu contrôle ! Tu connais le dicton … chasser le naturel il revient au galop ? » « … Pense à Kyo’ » Et je restais la, je ne comprenais pas la moitié des choses, mais j’écoutais attentivement. « J’ai bien vécu avec une mère mangemort ! Il peut survivre ! Il n’est pas bête au point de devenir comme toi et aimer un monstre de mon espèce ! » «  Je n’ai jamais dit de telles choses ! » « Tu l’as pensé si fort !! » Elle resserrait la pression de sa main sur le bol. Sa voix s’enraillait, prête à pleurer. « Pardonne moi … Je t’aime… » C’était allé très vite, j’avais beau être un gosse je finis par comprendre qu’il s’agissait de la scène à laquelle j’avais assisté. Mon père étreignait soudainement ma mère, l’embrassant passionnément. Je fis demi tour, un peu déboussolé, mange…mûre ? Nan, euuh mort ? C’était quoi ça ? Ce mot nouveau.

    […]


    « Natsuo lâche moi zut èé ! Je veux pas ! Lâche moiiii ! » « Mais elle est toute seule la pauvre ! » « Mais elle est tous les jours toute seule ! » Je soupirais tout en tirant sur mon bras, a l’époque déjà je n’aimais pas me méler aux autres gamins, je ne voulais pas qu’une fille brise notre duo. Et la j’eus cru tuer Natsuo avec son regard de chien battu… chose que je ne pouvais pas contrer, il fallait que je ferme les yeux, fort, très fort. Seulement je capitulais comme d’habitude. Et lui fier me tira par la manche, traînant des pieds, je le suivais. « Tss… tu m’énerves ! » Nous arrivions à destination, la gamine s’amusait dans le bas à sable nous étions aussi discret que possible, pensant que évidemment ce serait lui qui ferait le premier pas, je me trompais lourdement x____x ! « Kyo’, parle le lui s’il te plait ! Je suis pas doué pour ça tu le sais éè » me dit il dans un murmure. Je lui envoyais des éclairs par les yeux, près à l’étriper sur place ! Je retins une nouvelle fois, arborant un sourire presque chaleureux, à moitié hypocrite et je déposais ma main sur son épaule, haussant ma voix pour qu’elle m’entende. « On peut jouer avec toi ? »
    Ainsi je rencontrais Kaori. Finalement, je remerciais Natsuo de m’avoir forcer d’aller à la rencontre de cette gamine. Nous jouions une après midi entière dans ce bac à sable, de vrais gosses. On vivait simplement. S’en suivit des rencontres hebdomadaires, on se retrouvait la, après l’école, construisant des châteaux pour les détruite, et ect… La plus belle période. Nous n’étions pas jaloux des autres gosses, à trois c’était suffisant.

    { « Natsuo… Tu connais les mange..mûres ? » « Les quoi ? » « Euuuh nan rien … » }

    « Une rencontre n’est que le commencement d’une séparation »


    A vrai dire, durant ses trois années, rien de spécial ne c’était produit. Les meurtres avaient cessé, mes parents s’étaient réconciliés, et moi je grandissais entouré de mes deux grands amis. Kaori & Natsuo. Inséparables. Durant l’année de mes huit ans je découvris une nouvelle chose. Le monde magique. Une fois de plus j’avais forcé l’entrée du bureau de mon grand père, chose totalement prohibée. Il y avait beaucoup de livres étranges, des photos dont les protagonistes se mouvaient, et des tableaux du même genre, je n’étais jamais aussi loin qu’un seul pied. J’étais émerveillé. Il y avait beaucoup de bouquins parlant des plantes magiques, maladies magiques, ce genre de choses. Je regardais un peu partout. Touchais à tout. Jusqu’à tomber sur un tiroir scellé. Mais étant très borné, je ne me stoppai devant cet obstacle. J’ouvrirais ce tiroir coûte que coûte ! Je tirais sur la poignet de toutes mes forces, je réessayais d’innombrable de fois. Pfff… finalement c’était peine perdue, jusqu’à ce que roule une sorte de bâton jusqu’à mes pieds. Evidemment, je me moquais de mon grand père qui avait ce genre de truc. Mais bon, comme il y avait beaucoup de choses étranges ; j’essayais de me concentrer sur le tiroir. Plissant les yeux. Et d’un coup, je criais « Sésame ouvre toi ! » Rien ! Je continuais de fixer le tiroir. Bougeant mes lèvres « Aller ! » Va savoir pourquoi je faisais ça x___x « Ouvre toi j’ai dit ! » Et par surprise, le tiroir s’ouvrit mais pas le bon, celui juste au dessus, celui qui était au niveau de mon front, et qui me percuta. « Haaaa… du con ! » Je me mordais la lèvre pour ne pas ressentir la douleur et surtout ne pas pleurer. Et dans ce fameux tiroir, se trouvait des documents où étaient inscrit « Mangemorts ». Déjà je perdis l’envie, je fixais les feuilles. J’avais peur de comprendre ce qu’était ma mère. Mais alors que j’allais retourner la feuille la voix grave de mon aïeul m’en empêcha. Il n’avait rien dans le regard qui pouvait m’inspirer la peur, pourtant je restais immobile. Il était un homme très peu prévisible, chacun de ses mouvement ne pouvait être connu à l’avance. Soudainement, il attrapa le morceau de bois à terre. « Ca c’est une baguette. » Puis en pointant les bouquins « Ce sont les savoirs que je t’enseignerais dans un avenir proche. » Maintenant il visait les papiers, les faisant voltiger pour les remettre à leur place. « Ca tu le découvriras bien assez tôt. » Puis il déposa une main sur mon épaule, me souriant. « Je suis fier de toi Kyo’ ! » Je sortis, tout retourné. Il était fier de quoi… que je me sois pris un tiroir, que je sois pénétré par effraction ? Aucune idée.

    J’étais aussi depuis ma première rencontre, amoureux de la sœur de Natsuo, Juri. Lorsque je la croisais je ne pouvais m’empêcher de l’observer pendant plusieurs minutes. J’en rêvais la nuit. Dés qu’elle venait me parler j’étais aux anges, un peu comme un sot. Et mes deux amis ne se gênaient pas pour me le faire remarquer ! Forcément, je dénigrais, moi amoureux ?! Jamais ! Mais Juri m’intriguait, elle avait un sourire merveilleux, pourtant quelques fois je la voyais le visage fermé, ailleurs. Je la voyais plus particulièrement le week-end, quand elle revenait de son internat. Elle était un peu plus âgée que moi.

    Enfin, j’arrive la où je voulais en venir dès le départ. Toutes les bonnes choses ont une fin. J’aurais voulu croire au bonheur éternel, que jamais nous ne nous séparions. Un jour comme les autres, où je ne m’attendais à la prochaine sentence. Je pris la nouvelle comme un coup de couteau. Je devenais plus froid. A vrai dire, l’idée, que Kaori nous quitte, m’était insupportable. Je préférais me renfermer pour que tout cela soit moins douloureux. Mais au final, j’avais toujours mal et je devais me résigner à cette nouvelle, même si je ne comprenais pas ce départ. Forcément, cela jeta un froid. Lorsqu’on passait pour aller à l’école devant la maison de Kao’, nous nous arrêtions. Mais au fil de l’année le laps de temps diminuait pour simplement lancer un coup d’œil, on voulait simplement avancer. Mais Kaori restait tout de même présente.

    L’été approchait à petit pas, les pluies cessaient peu à peu, le vent frais devenait tiède et agréable. Le printemps avait pris possession du village. Les cerisiers étaient enfin en fleur, leurs pétales voltigeaient délicatement dans les airs, donnant un effet zénifiant. C’était beau, voir magnifique. Comme tous les événements importants que je rencontrais, j’étais confiné à la maison, patientant longuement que les vacances prennent fin. Natsuo était parti en vacances. Clairement, je m’emmerdais. Le vieux restait dans son bureau faisant un boucan pas possible. Ca faisait bien dix minutes que des choses devaient se briser et tout le tralala. Je n’étais pas extrêmement curieux de nature mais c’était intriguant. Dégringolant les escaliers bruyamment pour que mon grand père remarque ma venue. Cependant les bruits de fracas se faisaient de plus en plus violents, s’en était effrayant. Quand même, je continuais dans mon élan, pour arriver à destination, sentait les murs vibraient. Je m’avançais à tâtons, et je voyais avec une rapidité extraordinaire des ombres passaient juste devant l’entrebâillement de la porte. Je déglutis une bonne dizaine de fois, avant de m’approcher plus près. A cet instant précis mes yeux croisèrent plusieurs taches de sang au sol, j’eus un sursaut. Quand enfin les voix des deux combattants s’élevèrent; « Crève et rends moi ma fille, sale rat ! » Une voix furieuse et féminine, on sentait la haine passer à travers ses paroles. « Prends la ! Cependant c’est à elle de choisir son destin, rien ne l’y forcera. » La voix du vieil homme quant à elle était calme, même si on sentait l’essoufflement. « HunHun… tu connais hein ! Tu connais ! Tu sais ce que ça fait hein ! Tu ne veux pas qu’elle souffre ! Ne t’inquiète pas pour elle mon ange ! » Cette fois ci on la sentait assuré, moqueuse aussi.  « Hm… oui. Mais, elle est heureuse ainsi. Elle a l’âme d’un mangemort effectivement mais laisse la encore … juste connaître son fils. » Il faisais pitié, même moi je le pensais. Cependant la femme rechigna encore plusieurs secondes avant d’abandonner la guerre « Trèès bien … mais souviens toi, elle me reviendra, de gré ou de force, kusojiji ! » Et dans une légère fumée blanche elle disparut, je n’avais pas vu son visage mais j’observais mon grand père, essoufflé, bientôt affalé sur le sol, il se tenait sur son bureau pour ne pas s’étaler. Et je le fixais, de mes grand yeux bruns, perturbé, mangemort ? Encore ce mot … Mais il m’aperçut, m’offrit un long sourire rassurant qui pourtant ne me fit aucun effet. Je tremblais de tout mon corps, l’odeur du sang me montait au cœur. Quand … mon grand père soupira longuement, s’approchant nonchalamment de moi; jusqu’à m’attraper le poignet et me sourire une nouvelle fois. «  Viens … la. » J’avais la nette envie de m’enfuir, or mes jambes ne m’obéissaient pas, elles écoutaient mon grand-père. « Tiens .. Lis ça. N’aie crainte. Je veux que tu apprennes qui tu es, il est temps. Maintenant va ! » Dit il en s’essuyant le recoins de la lèvre ensanglanté. Je fis oui de la tête et m’enfuyais à toute vitesse, grimpant les marches aussi que vite que je les avais descendu, serrant se bouquin contre moi. J’avais peur de découvrir qui j’étais, encore un peu jeune. Mais je le fis…
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