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| Sujet: Harry Potter et le Règne de Lizlar [1 chapitre/ ??] Sam 16 Aoû - 17:53 | |
| Minuit vingt-quatre. Deux hommes s’avancent dans la brume, l’un ayant une baguette à la main, l’autre un parapluie. L’eau coule des nuages, il pleut, les deux hommes s’avancent d’un pas lent mais ûr, en se regardant dans les yeux, signe d’une détermination certaine. Dans la brume, on distingue les traits d’un des deux hommes, son visage. Les deux hommes sont en fait Hagrid et un autre dont on ne voit pas le visage, celui-ci étant cacher par une cape noire. Ils arrivèrent enfin l’un en face de l’autre, et, dans le froid de l’hiver, un des deux commença à parler. « Hagrid, dit l’homme encapuchonné, Tu à ce qu’il faut ?- Oui, répondit Hagrid d’un ton frissonnant, J’ai ce qu’il te fallait.- Bien. Donne-la-moi alors.- D’accord… La voici. »Hagrid tendit une baguette magique, une baguette en mauvaise état dont l’écorce du bois était arrachée et dont le haut était usé. L’homme prit la baguette et la rangea au fin fond de sa cape. Il sourit légèrement avant de s’avancer vers Hagrid.« Voilà, tu l’a eu, éclaircit Hagrid en frissonnant, Libère-le maintenant !- Tu crois, Hagrid ?- Mais… Tu avais dit que tu le laisserais dès que tu aurais cette baguette !- Oui,mais les gens mentent, tu sais…- Tu es vraiment… Ignoble…- Non, sûrement pas. Je suis juste un peu perturbé, et j’aime le mal. Ce n’est pas dema faute… Maintenant que tu à vu mon visage Hagrid, je vais devoir medébarrasser de toi… Définitivement.- Non ! Non ! S’il te plaît ! Laisse-moi ! »L’homme sortit de sa capuche, riant aux éclats, ressortant la baguette usée qu’il venait d’acquérir. Il la pointa en direction d’Hagrid, qui ne put s’empêcher de supplier, encore et encore celui qui allait lui ôter la vie. Il se mit à genoux, mais rien n’y fit.L’homme plaça sa baguette sur la tempe du pauvre Hagrid demandant la pitié, etd’une voix rauque et ferme, il dit: « Avada Kedavra. »Une lueur blanche sortant de la baguette, l’homme remettant son capuchon venait de tuer Hagrid, gardien des clefs et des lieux à Poudlard, école des sorciers… En sueur, la respiration haletante, Harry se réveilla dans son lit, chez les Weasley. Il avait, en effet, emménager chez eux suite à sa victoire contre Voldemort, faute d’avoir une maison, un toitoù habiter. Il se leva de son lit, et prit un morceau de parchemin. Il empoignaensuite sa plume et la plongea dans l’encre bleue et commença à écrire.« Cher Hagrid,J’ai fait un rêve étrange… je t’envoicette lettre pour vérifier que tout va bien, alors s’il te plaît, réponds-moidès que tu l’as reçue, vu que je ne suis pas sûr de te revoir… Merci Hagrid, etpeut-être à bientôt.Harry »Il saisit une enveloppe et y glissa le morceau de parchemin qui n’était maintenant plus vierge. Il fit couler la cire chaude sur la lettre, pour la refermer comme il le fallait. Il n’avaitplus Hedwige, hélas… Elle avait été tuée l’année dernière lors d’un vol à balais un peu trop dangereux. Il alla donc voir Erol, le hibou de la famille Weasley.« Tiens Erol, murmura-t-il au Hibou, Donne ça à Hagrid. »Prenant la lettre en bec, l’oiseau maladroit partit par la fenêtre… Qu’il croyait ouverte. Ce petit accident fit rire Harry, mais la situation exigeait un peu de sérieux. Il stoppa son rire et alla ouvrir la fenêtre pour le Hibou. Il remonta les escaliers qui le mèneraient de nouveau à la chambre qu’il partageait avec Ron. Il s’allongea dans son lit, lorsqu’il entendit la voix de Ron.« Harry ? demanda-t-il curieusement- Oui ?- Où tu étais ?- J’étais partit envoyer une lettre.- A deux heures du matin ?!- Et bien, oui. Il n’y à pas d’heures pour envoyer une lettre.- Mouai… dit Ron machinalement- Bonne nuit Ron.- Bonne nuit Harry. »Il éteignait la petite bougie qui éclairait la pièce, plongeant celle-ci dans le noir complet, avant de s’endormir de nouveau. La lune éclairait son visage de sa lueur blanchâtre, lorsqu’il vit une silhouette passer devant celle-ci. Il distingua une femme sur un balai, sanssavoir pour autant qui c’était… Il fit mine de ne pas l’avoir vu et s’endormit. Le lendemain matin, ils eurent la bonne surprise de voir Hermione les réveillés tout les deux. Bien sûr, Harry était fatigué de s’être réveillé en pleine nuit pour envoyer sa lettre à Hagrid.« Harry ! Cria Hermione, Lève-toi !- Mais Hermione… bougonna Harry, Je suis fatigué…- Vite ! hurla-t-elle de plus belle- D’accord, d’accord… » rechigna HarryIl se leva difficilement de son lit, et mit ses lunettes rondes. Dans quelques jours, il aurait dix-huit ans, et ce n’est pas ce qui le ravissait le plus. Ce qui le rendait heureux, c’est qu’il allait passer son anniversaire avec ses amis et sa nouvelle famille, les Weasley. Ilavait invité tout ses anciens amis de Poudlard, de Neville à Simus, en passant par Colin. Ils était tous invités à son anniversaire. Il dévala les escaliers et arriva dans la cuisine, où Molly l’attendait avec Ron, Percy, Fred et George. Il n’eut même pas le temps de parler que Molly lui sauta dessus, avec un sourire aux lèvres.« Alors Harry ! cria-t-elle de joie, Tu à bien dormit ?- Euh… hésita-t-il lourdement, Pas trop mal Mme Weasley.- Combien de fois t’ai-je dit de m’appeler Molly ? Nous vivons sous le même toit !- Ah oui, désolé Molly.- Y’a pas de mal, dit-elle, le sourire encore plus grand aux lèvres, Les garçons, vous pourriez aller chercher les bols pour lepetit déjeuner ?- Oui ‘man, dirent Fred, George et Percy, presque en même temps, Ils sont où ?- Je les ai changer de place, annonça Molly à ses trois premiers fils, Ils sont dans la déserte blanche.- Ok ! crièrent-ils en même temps.- Toi, Ron, va aider Hermione à monté le chapiteau pour l’anniversaire de Harry, demanda-t-elle gentiment à Ron.- Ok ‘man, bougonna-t-il, un peu dérangé, Mais Harry, il fait quoi ?- C’est son anniversaire non ? questionna-t-elle son fils, Alors il ne fait rien.- Ok… » répondit Ron, toujours en bougonnant.Harry n’étais pas du genre à laisser les autres faire ce qu’ils pouvaient pour lui, et irait les aider dès que Molly aurait le dos tourner. Aussi, il se demanda où était Arthur. Il ne l’avait pas aperçu dans la maison, et c’était toujours le premier qu’il voyait, en sortantde sa chambre.« Et euh… hésita-t-il de nouveau, Où est Arthur ?- Ne t’en fais pas, rassura-t-elle le jeune adolescent de dix sept ans, Il ne va pas tarder à arriver.- D’accord, dit-il, se demandant toujours où était Arthur, Merci Molly. »Les trois plus grands revinrent avec les bols pour le petit déjeuner, ainsi qu’une boîte de céréales moldus et aussi une boîte de Dragées Surprises, au cas où si Harry en aurait envie, même si le goût est nettement différent au réveil. Il s’asseyait sur les chaises de bois, prenant un bol et le remplissant de lait tandis que Fred mangeait quelquesdragées avec George. Percy, lui, était partit aider Ron et Hermione à monter lechapiteau. Ce chapiteau n’était qu’une précaution, au cas où il pleuvraitdurant la fête. Harry empoigna le paquet de céréales et les versas doucementdans son bol à moitié rempli de lait frais. Il prit la cuillère posée non loinde son bol et commença à manger et à écouter les histoires de sa nouvellefamille… « Alors Harry ?, demandèrent Fred et George, Tu à fait un rêve cette nuit ? »Il avait bien fait un rêve, mais ce rêve lui semblait un peu bizarre, et pensait qu’il ne valait mieux pas en parler pour l’instant. Une autre personne qu’il n’avait pas encore vue était Ginny. Il sortait avec elle depuis quelques temps, et Ron, lui, sortait avec Hermione, cequi rendait Harry un peu joyeux de voir ses deux amis sortir ensemble. Il burapidement son bol de lait, Molly étant partit à l’étage. Il rejoint Ron,Hermione et Percy dans le jardin.« Tiens !, dit Hermion ironiquement, Tu viens nous aider ?- Chut, murmura Harry, Si Molly sait que je viens vous aider, elle va croire que vous m’avez forcé et vous allez vous faire engueuler !- Mais… bégaya Ron, On ne t’a pas forcé !- Ta mère va croire ça ! expliqua Harry- Oui, rassura Percy, Tu connais Maman, elle ne vit que pour Harry ! »Ils rirent tous de bon cœur, et commencèrent à construire le chapiteau. Après quelques minutes de travail et quelques gouttes de sueurs échouées sur l’herbe du jardin, le chapiteau était monté et prêt à abriter une bonne centaine de personnes. Harry alla dans la cuisine et prit quatre verre qu’il remplit d’eau et apporta aux travailleurs. Ils burenttus leurs verres très rapidement.« Vous n’avez pas vu Ginny ? demanda Harry- Je crois qu’elle est partit avec papa, rassura Ron- D’accord, et bien… Je l’attendrais !- A Harry ! » trinqua RonEt ils trinquèrent tous pour Harry, celui dont ce serait l’anniversaire dans deux jours… Leurs verres s’entrechoquèrent, laissant se créée une étincelle entre leurs récipients lors du choc magique…LA SUITE BIENTÔT ! |
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