Petit tour au lac .[ Fe : Naima Rosana , Coralie DuChesnier ]

Il était 18h30 , j'étais épuisée , j'étais déboussolée ! Je n'avais pas le mot le plus puissant pour exprimer ma fatigue ! Ouf .. Il y avait un banc fait pour au moins 3 personnes environ .Je m'y assis , je regardai le lac avec de petites écumes qui se dessinait sur le lac . Je souriais , j'étais contente pour je ne sais qu'elle raison mais à vrai dire je suis comme sa .Le vent jaillit d'un seul coup et , il emporta mes cheveux qui dansaient . Je levai les mains en l'air et je les bougeai dans le même rythme que le vent . C'est si bon . Ah ! Je vois des nuages blanc en forme de voitures . Je put me retenir de dire :

- C'est troop beau ! J'aimerai bien les prendre !

Je posa mes mains sur mes genoux et je pris une grande respiration . Mes joues étaient de couleurs rouges , et je sentais la froideur du vent qui me glaçai le coup . Mon petit chat Mystic feulait , je le caressa pour le calmer . Il se frottait contre moi et je le pris et je me blotti en lui , son doux pelage me réchauffai mais le froid me transperçai comme même .Mes cheveux me cachaient la vue et je ne voyais rien juste le blond de mes cheveux .

- Arrgh .. J'ai froid ..Mystic , indique moi le chemin le vent est trop fort !

Coralie aimait le déchainement de la nature, la force brute, cela lui rappelait les combats, l'adrénaline. Avec ses forces de la nature, elle se sentait véritablement vivante, et elle se battait aussi pour quelque chose de plus noble que des querelle de terre ou d'opinion, elle seule contre la nature. C'était beau, dangeureux et si vivifiant.

Elle était donc près du lac, confiante pour retrouver son chemin, même les yeux fermer, quand elle entendit une voix porter par le vent, quelqu'un semblait perdu.

Elle se laissa guider avec le son et se retrouva devant une première années, à peine sortit de l'enfance. Elle semblait perdu, égarer et geler.

"Bonjour petite" Dit-elle un ton plus haut qu'à l'habituel pour être entendu malgré le vent.

Elle dégrapha sa cape.

"Tiens, prend là, moi je n'en ai pas vraiment besoin, j'aime la caresse violente du vent."

Elle lui sourit.

"Si tu veux, on peut rentrer ensemble." Dit-elle sans lui offrir son aide explicitement, protégeant l'orgueil que peut avoir une enfant, non une adolescente, de son âge.

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