Un balai à revoir. [PV Julie Lousiane]

On connaissait Stella Galactica pour son talent pour les sortillèges, pour ses yeux verrons, son caractère plutôt discret, son métier, sa recette des muffins à la citrouille et surtout, pour sa maladresse tout ce qui concerne le rangement! C'était un samedi matin, Stella avait pris son week end, enfin elle pouvait rentré chez elle en Ecosse. Ca ne fait pas si loin que sa d'Edimburgh à Londre par Portoloin. Mais ce jour là, la jeune auror était était arriver à Londre par le réseau des cheminées, n'ayant pas de portoloin sous la main omnis celui de son retour en début de semaine. Elle aurait peut être pu venir en balais me direz vous, mais c'est justement pour ça qu'elle était venu avec de la poudre de Cheminette. Elle c'était lever au aurore (sans mauvais jeux de mot merci.) elle avait regarder d'un oeil encore endormie son appartement. Horrible. Le fait de n'être la que très peu souvent, et souvent pour mettre le bazar, avait transformer ce jolie petit appartement de banlieu en un champ de bataille considérable. Sans prendre garde, après s'être servit une tasse de thé (Jardin Bleu s'il vous plaît) elle c'était assise sur son canapé. Problème. Sous une pile de vêtement se cachait l'objet qui était la cause de son soucis matinal. Je repends. Elle c'était assise et avait entendu un lourd "CRAC".

Deux hypothèses s'offraient à elle. La première: Elle c'était cassé les os de son postérieur. Mais après quelques seconde, le temps que l'information monte au cerveau (c'est le matin je vous le rapelle) elle se souvint qu'il n'y à pas d'os dans les fesses! La deuxième hypothèse: Elle avait sans doute cassé son balai. NOON! D'un bon, elle se leva en dehors du canapé, si bien qu'elle renverssa sa tasse de thé, cette dernière ce vidant sur le sol, telle une marre de sang brune. Elle enleva une pile de vêtements et couvertures, avant de trouvé son balai en deux parties. Elle attrapa les morceaux de balais, un dans chaque main. D'un geste de la tête assez lent, elle les regarda à tour de rôle, avant de ce frappé la tête avec le manche. C'était un Nimbus 2001, teint en bleu celui ci. Il incarnait la finesse et l'élégance! Elle devait faire quelque chose. Heureusement la membrane principale du balais (qui ce trouve au centre du bois) était seulement sectionner en deux, mais nette. Il ne manquait aucun petit morceau.

Elle se souvint que Manfred Vonkarma, un vieil homme qui travaillait au ministère depuis des lustres, lui devait quelque chose. Le premier jour ou Stella avait visiter le quartier général des aurors, Mr VonKarma qui était dans l'ascenseur avec elle, tenait ce jour la une énorme pile de dossier administratif très important. L'ascenseur démarra brutalement sans que ce dernier ne s'en aperçoivent, si vite que ses papiers s'envolèrent par la porte qui commençait à ce fermer. Stella avait eu un bon réflexe de sortir sa baguette aussi vite que l'éclair (comme tout bon auror qui soit) et avait formulé un sortilège d'attraction. La paperasse de Vonkarma était revenu dans ses mains, sagement. Papier important ou non, Stella n'en savait rien, juste une chose, Vonkarma lui était si reconnaissant qu'il lui dit que si un jour elle avait besoin d'une aide quelconque, ce dernier pourrait l'aider! Le jour était idéal, lui qui travaillait à l'étage de régulation des balais.

Après avoir enfilé vite fait, bien fait une robe de sorcier saillante, moulant ses jolies formes. Ses cheveux aujourd'hui fin et lisse, couleur cuivre sur son visage, des chaussures à talons, et sa baguette glissé dans sa manche, elle s'en alla par la voie des cheminées, direction le ministère de la magie. Arriver à l'entrer, elle pris l'ascenseur. Elle avait dans son sac les deux morceaux de son balais, auquel elle jetait quelques regards triste. La voix métalique lui demanda:

"

Quel niveau?

"

Stella vit une jeune femme rentré dans l'ascenseur. D'un air lasse, elle répondit à la voix:

"

Niveau 6 ...

"

Sa première sortie depuis qu’elle était revenue de France et c’était pour le ministère de la magie, mais particulièrement pour un ami Julian, il lui en avait apprit des choses cet homme et Julie fut heureuse de pouvoir le revoir en ce jour.
Ses bagages trainaient encore dans le vestibule de sa demeure, elle n’avait pas eut le courage de les ranger, surtout quand elle s’était aperçut que Bryan l’attendait devant sa porte, des retrouvailles assez spéciales. La jeune femme n’avait pas encore récupéré son travail à Poudlard mais avec l’aide de quelques ministres elle y parviendrait sans encombre, elle en était certaine.
L’infirmerie de l’école l’avait beaucoup manqué, elle adorait son métier de médicomage et surtout sauver des gens, c’était sa vie, mais son absence prolongé des terres d’Angleterre lui avait donné la mélancolie et revenir dans son Pays natal lui avait procuré beaucoup de joie et à présent elle allait revoir ses amis. Qu’étaient-ils devenus pendant ces deux années ? Avaient-ils changés ?

Au moins ce qui rassura Julie c’est que l’école de magie était à nouveau libre, plus aucune emprise de la veuve noire et c’était mieux ainsi. La demoiselle repensa au jour ou les mangemorts avaient prit Poudlard sous leurs joncs et elle fut ravie de pas être présente pendant cette prise sanglante. D’un côté elle aurait aimé être sur place pour aider les blessés et éviter peut- être tout ces morts, mais d’un autre côté elle avait de la chance de ne pas s’être retrouvée devant la veuve noire, Julie n’aurait pas fait long feu, c’était certain. Laissons les choses où elles sont et ne pensons plus à ces atrocités assez pénible.

Transplanant de son domicile au ministère, la jeune infirmière se retrouva dans un des ascenseurs qui se referma, une voix derrière elle lui indiqua qu’elle n’était pas seule, la Miss regarda autour d’elle et sentit l’odeur de magie qui émanait de cet endroit, ça faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas eut de conversation avec un ou une sorcière . Oui en France elle s’était retrouvée parmi les moldus et c’était assez dur de s’y faire, bon de temps à autre elle se rendait dans des endroits fréquentés que par de sorciers mais elle n’avait pas le cœur à la conversation, la guerre dans son ¨Pays plus un homme merveilleux qu’elle ne pouvait pas voir l’avait rendu mélancolique. A présent tout était différent et Julie remarqua que le sac de la sorcière à ses côtés était bien remplis, il ne s’agissait tout de même pas d’une bombe, non….. Les moldus ce n’est pas ici !!

Vraiment elle se méfiait de tout le monde et même des sorciers qui prenait un ascenseur au plein centre du ministère.
Tiens le bouquet, à présent cet engin en fer en faisait des siennes, il venait de s’arrêter au beau milieu de deux étages, c’était pas malin ça …..

Oulà! On peut dire que certain sorcier ne sont pas très sociable le matin! Stella était neutre, sans émotion. Elle regardait les débris de son balais avec inquiétude. Et si ce n'était pas réparable. D'un coup, l'ascenseur se bloqua, en plein milieu de deux étages. Oh non pas ça! Le jeune auror poussa un long soupir. Elle regarda par la petit ouverture et vit son étage, droit devan elle... Stella sortit sa baguette et tira un léger Alomohra et les portes s'ouvraient. Tout était noir autour d'elle. Stella poussa un soupire et s'assit au fond de la cabine. La jeune femme à côté d'elle ne bougeait pas. Stella leva les yeux vers elle. Elle était jolie, et avait d'la classe. Un peu plus que Stella d'ailleurs. Elle poussa un nouveau soupire, et s'adressa à elle:

" On à plus qu'à attendre, transplané jusqu'à la bas c'est trop risqué, l'ouverture est trop petite, et un sortilège d'attraction ferait trop de dégats! C'est quoi vôtre nom?

"

Pendant qu'elle attendait que son interlocutrice parle, Stella regarda à nouveau son sac. Elle sortit les deux morceaux de balais, et les regardaient d'un air desespéré. Elle lanca un petit sourire à la jeune femme et dit d'un air un peu maladroit:

" Mon balai ... Il à mal fini, espérons que mon vieil ami réussira à le réparer!

"

En faites, elle se parlat plus à elle même, mais bon. Stella se releva et appuya sur le bouton d'alarme, ou quelque sorcier de la maintenance devrait venir avec des balais les récupére.

HS: Désolé c'est assez cours!

La jeune femme à ses côtés poussa un soupir quand l'ascenseur se bloqua, c'était la poisse oui, comment dans un lieu magique les choses puissent-elles tomber en panne ? Question qui ne trouverait pas de réponse en cet instant. La jeune femme s'était avancé vers les portes bloquées, avait sortit sa baguette et lancé dessus un alomhora qui servit juste à ouvrir les ouvrirent, mais rien d'autre, poussant un nouveau soupir elle alla s'assoir dans le fond de l'engin et regarda Julie, puis elle déclara :

" On à plus qu'à attendre, transplaner jusqu'à la bas c'est trop risqué, l'ouverture est trop petite, et un sortilège d'attraction ferait trop de dégâts! C'est quoi vôtre nom? "

S'installant à côté d'elle, la jeune infirmière s'exprima :

Je me prénomme Julie Lousiane infirmière à Poudlard et vous ?
Je suis certaine que la panne ne sera pas longue, mais c'est tout de même bizarre que ça se passe justement ici au ministère de la magie, j'en toucherai deux mots à mon ami. la maintenance se fait rare en ces lieux !!

Un rire ironique sortit de la bouche de Julie, elle ne se sentait pas nerveuse du tout au contraire tout ceci l'amusait beaucoup, elle n'avait pas rit de si bon cœur depuis bien longtemps et peut-être que ses rires feraient venir quelqu'un ?

Stella, oui c'est comme cela qu'elle se prénommait, sortit de son sac un balai en piteux état, c'était donc ça qu'elle avait avec elle et non une bombe ou autre chose, Julie se tapa le front, elle se sentit stupide, mais la jeune femme dit tout bas :

" Mon balai ... Il à mal fini, espérons que mon vieil ami réussira à le réparer! "

Les balais, Julie les adoraient, enfourcher un de ces objets et s'envoler très haut dans le ciel s'était grisant, ça lui procurait beaucoup de bonheur et lui faisait oublier tout le reste.
Elle savait ce que c'était de perdre un objet comme celui ci, c'était très dur on s'y attache facilement.

Je suis désolé pour toi ! mais vu son état je ne sais pas si c'est possible de le réparer même pour des sorciers comme nous.

Un bruit de pas se fit entendre dans le couloir de dessous ou du dessus, peu importe, au moins il y avait quelqu'un, Julie se leva et alla près des portes de l'ascenseur ouverte et cria :

Nous sommes coincé dans l'ascenseur aidez-nous !!

A présent il y avait plusieurs personne qui accouraient dans les couloirs pour essayer de sauver les deux jeunes femmes.

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